TEMPS REPÈRE, TEMPS MAX, CODE : EN BREF !
Fin de distribution, que faire ?
- Le temps repère étant ce qu'il est, inutile de se hasarder en quelconques conjectures.
Donc, si ce temps vous convient, vous optez pour "déclaratif".
L'avantage de l'option temps repère, il sera intégralement payé, sans écrêtage ni invalidation.
L'inconvénient, il est souvent minimisé par rapport à la réalité et ne permet donc pas d'effectuer
une distribution satisfaisante.
- Le temps max étant ce qu'il est, inutile de fantasmer sur son amélioration.
Temps max atteint, pas d'état d'âme. On stoppe net le travail. On valide "temps badgé"
et retour au bercail pour les éventuels restes : publicités et courrier.
Le temps max est un choix de la direction qui assure en assumer les risques calculés,
choix qui entre dans le domaine de son pouvoir de direction, non contestable.
- L'attribution du code étant ce qu'elle est, inutile de déblatérer en son absence.
Le code, c'est le must, l'assurance, en principe, d'un temps intégralement payé.
Et de ce fait il vous sera demandé, en toute logique, une couverture jusqu'à 97 % du secteur.
Le code, c'est tout simplement le retour à la case départ, lorsque le temps badgé était payé,
sans temps max et sans code, conformément à l'esprit de l'accord du 4 juillet 2016,
même si le problème des écrêtages et invalidations persiste, mais FO s'en occupe.
Peu à peu, avec l'abondance du courrier à distribuer, de plus en plus de secteurs bénéficient du code,
du moins dans les régions où les directeurs privilégient la qualité à la marge !
Le constat est simple :
"j'ai le code, je fais tout ; je n'ai pas de code, je stoppe au temps max".
Chers patrons, c'est vous qui voyez !