A propos du droit de réponse de la direction.
Nous n’avons jamais affirmé que cet entretien était du fait de la direction, le délégué a sollicité une réunion et la direction l’a convoqué le 11 janvier et c’est ce jour la que trois de ses cadres ont refusé que le délégué soit assisté alors qu’il en avait fait la demande. C’est bien là le problème et non dans le fait de savoir qui a sollicité qui pour cette réunion.
Sur la formalité de la réunion, quand un directeur des opérations et un directeur technique régional accompagnent un chef de centre dans une réunion on peut supposer qu’elle revêt une certaine importance pour que deux cadres supérieurs de cette envergure soient présents.
Ensuite, nous n’avons jamais affirmé autre chose que le fait que le malaise avait eu lieu le lendemain sur le lieu de travail.
Pour conclure, quand on sait qu’auparavant la direction régionale a déjà demandé le licenciement de ce délégué, licenciement qui fût refusé par l’inspection du travail, tout comme par deux fois pour le deuxième délégué syndical de Marseille, là aussi refusées par l’inspection du travail.
Que nous avons la preuve par des documents que le chef de centre de Marseille a organisé les listes des candidatures des indépendants qui étaient face aux candidats FO lors des élections.
Aujourd’hui selon la direction il faut croire ceux qui ont refusé un témoin lors de cette réunion, qui ont tenté en vain de licencier ce délégué.
Dans ce droit de réponse c’est la victime qui devient coupable d’une sorte de machination contre sa hiérarchie, c’est la position de la direction, dont acte, mais au vu des éléments nous n’avons pas le même avis.