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Le syndicat FO informe et défend le personnel MILEE

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DROIT DE REPONSE DE LA DIRECTION

Comme la loi nous y oblige la direction souhaite user de son droit de réponse à un article publié le 15 février sur notre site, ci-dessous vous trouverez le droit de réponse de la direction.

Suite à la diffusion d’un tract et d’un article sur le site ADREXO-FO le 15 février 2012, la direction d’Adrexo souhaite apporter des précisions aux faits évoqués.

En effet, les affirmations parues dans l’article publié sur le site adrexo-fo le 15 février 2012 intitulé « ACCIDENT DU TRAVAIL- par ADREXO-FO le 15/02/2012 @ 13 :30 », qui ont également été diffusées sous forme de tracts, sont erronées et mensongères.

Concernant l’accident évoqué à Nantes, ADREXO souhaite clarifier les éléments suivants :

Un salarié d’ADREXO à Nantes a bien été victime d’une chute engageant son pronostic vital en glissant sur du verglas provoqué par les conditions climatiques. Cette chute a eu lieu dans l’allée menant à son domicile, alors qu’il arrivait pour décharger ses documents de retour de sa distribution. Aussi regrettables et préoccupantes que soient cette chute et ses conséquences sur la santé de notre collaborateur, cet accident est strictement dû aux conditions climatiques de cette période. En raison de l’absence temporaire de C.H.S.C.T, les D.P ont bien été informés de cet accident comme il se doit, et une enquête a été diligentée.

ADREXO souhaite un prompt rétablissement à ce collaborateur, et a été heureuse d’apprendre sa situation s’est nettement améliorée.

Concernant l’accident évoqué à Nîmes, ADREXO souhaite rectifier les éléments suivants :

Un Chef d’équipe colportage du dépôt de Nîmes a fait un malaise à son domicile le 8 février à 3h30 du matin. Il a tout de même décidé d’assurer son travail en se rendant ensuite à l’imprimerie de Chateaurenard. Le chef d’équipe a de nouveau fait un malaise en arrivant dans la Zone Industrielle de l’imprimerie s’est rendu sur place puis a alerté les pompiers, qui l’ont évacué vers l’hôpital d’Avignon. Le Chef d’équipe a lui-même averti son chef de centre de sa situation. Le Chef de Centre s’est assuré de sa bonne prise en charge par les pompiers puis s’est rendu à Chateaurenard pour récupérer le camion du Chef d’équipe afin d’effectuer ensuite à sa place la distribution du 20 minutes.

Le Chef d’équipe ayant ensuite obtenu l’autorisation de sortir de l’hôpital, son Chef de centre s’est rendu à Avignon pour le ramener à son domicile.

Il était donc faux d’écrire que ce salarié a eu un malaise sur la voie publique en distribuant des journaux par une température négative. Cette présentation ne reflète en rien la réalité, tant sur les conditions de l’accident de ce salarié que sur la conduite de son Chef de centre. Si les D.P ont été informés de la situation, cette dernière ne présentait pas les caractères de gravité suffisants pour que soit diligenté une enquête.

Dernier point erroné, le Chef de Centre n’a jamais envoyé le personnel permanent travailler sur un autre site laissant les distributeurs confrontés à des problèmes d’eau et l’électricité coupée. S’il y a bien eu une coupure d’eau, aucune canalisation n’a été rompue et il n’y a pas eu de coupure d’électricité. L’eau a pu être rétablie le 7 février et dans cette attente, le Chef de centre a veillé à ce que des cafetières alimentées par de l’eau en bouteille soient mises en place afin que les salariés puissent bénéficier de boissons chaudes. Seule l’assistante du dépôt a été amenée à se rendre sur le site de Mudaison pour effectuer une mission précise, générée par un dysfonctionnement informatique.