BLANQUEFORT (33) : CENTRE TÉMOIN D'ADREXO!!! (de notre correspondant local).
Nouveau chapitre : si tu démissionnes, je te vire !
Le 31 mars, Didier reçoit une mise en demeure le menaçant de prendre à son encontre les mesures disciplinaires qui s'imposent.
En effet, et il le reconnaît volontiers, Didier ne s'est plus présenté à son poste de distributeur depuis le 6 septembre 2021, et il est prié de revenir au plus vite.
Le 20 avril, il est convoqué pour le 4 mai à un entretien préalable à licenciement avec l'adjointe ROC du centre de Blanquefort.
Apparemment, procédure logique, sauf que chez Adrexo, un lézard peut en cacher un autre.
En fait, Didier attend impatiemment son solde de tout compte qu'il réclame en vain depuis plusieurs mois, accompagné de sa prime de départ effectif le 6 septembre 2021, jour où il a remis à la direction sa démission et ses documents CARSAT pour faire valoir ses droits à la RETRAITE.
Il était loin de se douter, le jour où ses patrons lui ont souhaité une bonne retraite, que le fantôme d'Adrexo le hanterait jusqu'à la fin de ses jours.
En Corse, on fait voter les morts, chez Adrexo, on licencie les salariés qui ont démissionné !!!
Mais une question récurrente se pose sur la gestion d'Adrexo : quand une entreprise vise "l'excellence opérationnelle", comment peut-elle fonctionner avec des services administratifs aussi désolants :
- données non transmises à la Mutuelle,
- départs à la retraite non signalés,
- acomptes erronés ou oubliés,
- versement du complément patronal à réclamer, sans cesse réclamer,malgré nos réclamations.
- régularisations enterrées, et les exemples foisonnent comme les microbes dans un bouillon de culture.
Ah, si tous les services administratifs fonctionnaient aussi bien que le service écrêtages et invalidations !!!